Préambule

 

 

 

 

 

Retracer l’histoire d’un village, quel qu’il soit, est, a priori, une tâche difficile et redoutable.

  • Difficile, parce que les documents, les preuves, les traces se raréfient au fur et à mesure qu’on remonte le temps, pour en venir à des hypothèses plus qu’à des faits avérés.
  • Redoutable, parce qu?on n’est pas à l’abri d’une mauvaise interprétation, d’une affirmation malheureuse.
  • Je vais donc commencer par demander l’indulgence des lecteurs. Qu’ils ne m’en veuillent pas de mes erreurs ou insuffisances, mais je leur demande, au contraire, de bien vouloir me faire bénéficier de leurs rectifications ou compléments. Cette chronique doit permettre, à tous ceux qui le souhaitent, de participer.
    Je tiens aussi à remercier d’ores et déjà celles et ceux qui m’ont apporté leurs connaissances, leurs témoignages, leurs sentiments, comme Ursule Agostini-Terramorsi, Jojo Tomasi, Dominique Calzarelli, Jean Calzarelli, en espérant ne pas les trahir.

Où et quand commence cette histoire ?

C’est l ‘histoire d’un village, comme il y en a des centaines, des milliers, un peu partout. Sauf que celui-ci est en Corse, en montagne, tout au bout d’une route restée longtemps confidentielle.

 

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